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L’arthrite vole tellement de choses. Elle dévaste des vies, vole la mobilité, l’indépendance et les rêves. Rien n’est épargné par l’arthrite.
1 Canadien sur 5 vit avec l’arthrite. C’est peut-être un proche, un ami, voire vous-même.
Il y a cependant de l’espoir. Ensemble, nous pouvons changer l’avenir pour les 6 millions de Canadiens touchés.
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Notre travail dépend largement de la générosité des donateurs. Leur soutien est essentiel afin d’améliorer notre compréhension de l’arthrite, de mettre au point des traitements qui changeront des vies et, espérons-le, de trouver un jour un remède qui mettra fin à cette maladie ».
– Anthony Perruccio, Ph. D., chercheur financé par la Société de l’arthrite du Canada
Aidez à reprendre ce que l’arthrite a volé
Tina Moffat
D’innombrables interventions chirurgicales et près d’un an à attendre la prochaine. Tina connaît la réalité de la douleur intense de l’arthrite; elle est née avec une dysplasie de la hanche et a commencé à montrer des signes d’arthrite dans la vingtaine. Aujourd’hui âgée de 56 ans, Tina est atteinte d’arthrose sévère qui, selon son médecin, « ressemble à celle d’une personne de 80 ans ».
Constamment en douleur, Tina a dû renoncer à travailler, ne peut pas passer du temps avec sa petite-fille, ni même aller à l’épicerie sans aide. Elle vit dans la crainte permanente d’être isolée et de devoir compter sur les autres pour s’occuper d’elle. « J’ai l’impression que l’arthrite m’a volé mon humanité et ma sensation de bien-être ».
Elle est épuisée et la douleur la vide émotionnellement, ce qui entraîne des répercussions sur sa santé mentale, sa vie sociale et ses relations. « J’ai l’impression de vivre au jour le jour et que mon autonomie et ma mobilité sont limitées dans le temps et je ne sais pas quand je ne pourrai plus m’occuper de moi-même. »
Après la recommandation d’une arthroplastie de la hanche de son médecin de famille, elle a attendu près d’un an avant d’obtenir une date. « La frustration de voir clairement la solution sans avoir de calendrier était écrasante. » Maintenant qu’elle a été opérée, la douleur aux hanches s’est atténuée, mais l’arthrite continue de faire des ravages sur un bon nombre de ses articulations et d’autres opérations seront nécessaires à l’avenir pour conserver sa mobilité.
Gilbert Denis
En tant que camionneur-propriétaire, Gilbert connaît bien le travail physique – attacher des cargaisons sur des remorques, tendre de lourdes sangles, étendre des bâches de protection et se charger des réparations mécaniques. À partir de sa cinquantaine, l’arthrose est apparue et rendu son travail presque insoutenable. « J’ai perdu de la mobilité, de la flexibilité et de la force, et il m’est difficile de plier les genoux », raconte-t-il. « J’avais l’habitude de faire beaucoup de réparations moi-même, mais je ne peux plus me pencher sous le camion ou m’agenouiller. »
Pendant longtemps, Gilbert pensait que la douleur était normale et que les antidouleurs et la cortisone en vente libre étaient ses seules options. À la demande de sa famille, il a finalement demandé d’être aiguillé vers un chirurgien orthopédique qui a confirmé le besoin de remplacer ses deux genoux. C’est à ce moment que Gilbert a réalisé que sa douleur n’était pas uniquement une chose à surmonter et que s’il avait rencontré un spécialiste plus tôt, les résultats auraient été meilleurs.
Les longues listes d’attente ajoutent à la douleur de Gilbert. Il perd un temps précieux au travail qu’il aime toujours parce que l’arthrite lui vole sa mobilité. « Après deux ans d’attente, j’ai enfin pu me faire remplacer le genou droit. Maintenant, je suis sur une autre longue liste d’attente pour mon deuxième genou. La douleur et la tension m’ont obligé à réduire mes heures de travail et à renoncer à certaines tâches physiques », explique Gilbert. « J’aime toujours mon travail et je ne suis pas prêt à prendre ma retraite. »
Diana Gazdar
Depuis son adolescence, Diana vivait avec une douleur constante et n’avait jamais reçu de diagnostic. À 33 ans, alors qu’elle était enceinte de son premier enfant, la douleur est devenue insupportable. « J’avais l’impression que mon corps brûlait. Je n’arrivais pas à sortir du lit ni à marcher jusqu’à la salle de bains. Je pouvais uniquement bouger le cou. Je me demandais comment j’allais m’y prendre pour m’occuper de mon bébé », se souvient-elle.
Son médecin lui a assuré que la douleur s’atténuerait après l’accouchement. Cependant, deux semaines après la naissance de sa fille, la douleur est devenue insoutenable. « Je ne pouvais ni allaiter ni prendre mon bébé dans mes bras », dit-elle. La douleur débilitante, la mobilité limitée et la fatigue ont persisté pendant sept mois, jusqu’à ce que Diana reçoive finalement un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde.
Être une jeune mère est un défi, mais pour les personnes qui, comme Diana, doivent composer avec des poussées de polyarthrite rhumatoïde, cela devient une épreuve d’endurance physique et mentale. La douleur intense et l’inflammation rendent même les tâches les plus simples, comme changer une couche, insurmontables. À ce fardeau physique s’ajoutait la tension émotionnelle liée au sentiment de ne pas être à la hauteur pour s’occuper de son bébé.
L’arthrite lui a volé la joie d’être une nouvelle maman. Les moments de bonheur furent assombris par la frustration et la culpabilité, alors que Diana avait du mal à ne pas être la mère active et engagée qu’elle voulait être. Les exigences de sa carrière professionnelle ont ajouté un stress supplémentaire, car elle s’efforçait de se soumettre à des normes de rendement élevées.
Aujourd’hui, dix-huit ans après le diagnostic, Diana a trouvé un moyen de vivre avec la polyarthrite rhumatoïde, en conciliant son amour de la famille, sa carrière et sa santé. Sa plus grande préoccupation reste les répercussions sur ses enfants. « Je veux que mes filles voient leur mère comme une personne forte et résistante. Je veux que mon parcours montre que la force n’est pas seulement physique, mais qu’il faut aussi avoir le courage de relever les défis et la sagesse de rechercher l’équilibre. La douleur fera toujours partie de ma vie. Je l’accepte et je m’efforce chaque jour de garder les pieds sur terre et d’accomplir tous les objectifs que je me suis fixés. Et j’y parviendrai ».
FAQ
L’arthrite entraîne des répercussions sur la vie de six millions de nos proches, de nos amis et de nos voisins. Il s’agit de la maladie chronique la plus courante au Canada, mais elle reçoit rarement l’attention qu’elle mérite. C’est la raison pour laquelle la Société de l’arthrite du Canada s’est donnée pour mission de rediriger la conversation et de faire savoir au monde entier que ce n’est pas « juste » de l’arthrite.
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La Société de l’arthrite du Canada représente les six millions de personnes au Canada vivant avec l’arthrite aujourd’hui et les millions d’autres qui sont touchés ou à risque de l’être. Grâce à la confiance et au soutien de nos donateurs et de ses bénévoles, la Société de l’arthrite du Canada combat l’arthrite par la recherche, la défense de la cause, l’innovation, l’information et le soutien.
Nous sommes le plus important bailleur de fonds caritatif de la recherche de pointe sur l’arthrite au Canada. Nous redoublerons d’efforts jusqu’à ce que tout le monde soit libéré de la douleur atroce de l’arthrite. La Société de l’arthrite du Canada est agréée par le Programme de normes d’Imagine Canada.
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